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Photo du rédacteurSandrine B. Naturopathe

5 raisons pour lesquelles le cerveau adore les massages



✅ Le système nerveux commande le corps sur une alternance orthosympathique / parasympathique (ça fait des points au Scrabb'), soit action / repos pour simplifier. Il suffit de 15 minutes de massage pour que le corps passe en parasympathique, qu'il commence à s'apaiser, se relaxer et... digérer!

✅ Le massage fait baisser le taux de cortisol, l'hormone du stress. Le cerveau est sensible au cortisol, plus il y en a, plus il commande au corps de se mettre en alerte. On a la forme, on fait les choses vite et bien, on résiste aux agressions... Puis vient une certaine résistance, et à terme, on ressent une fatigue physique et nerveuse et on attrape tous les rhumes qui traînent dans le metro... Donc mieux vaut un bon massage pour maintenir le cortisol à la baisse.

✅ Il augmente les niveaux de sérotonine de 30%, cette hormone de l'apaisement qui te fait te sentir bien dans ta peau. Si on en manque, on ressent de la dépression, de l'anxiété, des troubles du sommeil et même des pulsions alimentaires...

✅ Le massage augmente la dopamine, l'hormone de la motivation, de l'action et de la récompense (et que tu ressens quand tu as des like sur les réseaux sociaux ou en mangeant du chocolat par exemple...). C'est pour ca qu'on a l'impression qu'un massage ne dure jamais assez longtemps...!

✅ Et enfin, le must: il fait libérer des endorphines, ces substances proches des opiacées qui te déteeendent et font oublier les douleurs. Les sportifs d'endurance connaissent bien ce rush qui donne une énergie d'enfer et permet de prendre un second souffle... . Il y a plein d'autres raisons à énumérer. Moi, ça me permet de me déconnecter de tous mes RDV, de tout ce que j'ai à faire. C'est une heure rien que pour moi, et j'avoue ne pas en profiter autant que je pourrais.... . Et je crois que le massage thailandais est mon préféré. Et toi? . Source: Cortisol decreases and serotonin and dopamine increase following massage therapy, Tiffany M. Field, Maria Hernandez-Reif, Published in The International journal of neuroscience 2005 DOI:10.1080/00207450590956459

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